Publication spéciale sur le général Soleimani en Grèce
Dans le texte de cet e-mail il est indiqué : « Aujourd'hui, les peuples de la région de l'Asie occidentale commémorent le quatrième anniversaire du martyre du grand Général iranien, Ghassem Soleimani.
Afin de comprendre ce que le Général Soleimani et ses alliés ont fait dans la région de l'Asie occidentale, il faut rappeler qu'en 2011, avec la coopération des États-Unis, de certains gouvernements occidentaux, d'Israël et d'un certain nombre de pays de la région, le feu de la guerre s'est progressivement allumé dans certaines villes de Syrie.
À cette époque, un groupe terroriste appelé ISIS (Daesh) qui, selon l'ancien ministre américain des Affaires étrangères, avait été formé par les Américains eux-mêmes, procédait à des destructions dans ce pays, et attaquait sans pitié des innocents.
Daesh était un groupe sinistre et maléfique, soutenu par les Etats-Unis dans le but de créer la discorde dans le monde islamique, de grandes tragédies et des crimes en Syrie et en Irak.
Mais plusieurs années plus tard, lorsque ce commandant, héroïque et courageux, se mit à les combattre sur le champ de bataille, leur rêve de former un gouvernement basé sur la terreur et le meurtre, se transforma en un cauchemar, noir et douloureux.
Sept ans après l'apparition de ce groupe criminel et le combat courageux et intrépide du Général Qassem Soleimani contre ce groupe de terroristes, le 21 novembre 2017, au moment même où se terminait l'opération de libération de la région de Bokmål en Syrie, le général Soleimani, dans une lettre adressée au guide de la République islamique d'Iran, annonça officiellement la fin du gouvernement de Daesh.
Dans cette lettre, il écrivit : « Après avoir baissé le drapeau de ce groupe américano-sioniste et hissé le drapeau syrien, je déclare la fin du règne et du contrôle de cet arbre (cette organisation) maléfique.
Mais malheureusement, un peu plus tard, le Général Soleimani, venu en Irak aux petites heures du matin du vendredi 1er janvier 2021, en compagnie d'Abou Mahdi Al-Muhandis et d'autres collègues, à l'invitation du gouvernement irakien, sur l’ordre du président des États-Unis qui ignorait les principes et les règles du droit international, a été attaqué et assassiné près de l'aéroport de Bagdad.
Cependant, son héritage a pris un nouveau visage avec son martyre. Un héritage appelé « Discours de résistance » au sein des peuples de la région.
Le martyr Soleimani a été le pionnier du discours, théorique et pratique, de la résistance, dans la région de l’Asie occidentale. Un discours qui non seulement n’accepte ni l’abandon ni le compromis, mais ne tolère pas non plus l’indifférence et le silence.
Ce que nous voyons aujourd’hui, dans la résistance du peuple opprimé de Palestine, est le fruit de ce discours, et c’est pourquoi les Palestiniens nomment aujourd’hui le martyr Soleimani « Le martyr de Qods ».
